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Livre d'or

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  • Le 08/04/2022 à 00:13 par Isa
    🙏❤
  • Le 21/05/2021 à 14:28 par Clara Dubois - Site web
    Bonjour à tous
    Très heureux de découvrir ce site
  • Le 05/09/2020 à 20:18 par Lisa HURST
    Cher Richard, enfin, je te reconnais! Richard Chaillou! Je ne sais plus quand est-ce que je pense à toi, des fois que nous nous croisions. Lisa
  • Le 08/05/2020 à 17:02 par Richart Chaillou
    Salut à tous ceux qui ont connu Anthony "mon pèlerin de frère" en ces temps de confinement j'aimerais juste vous rappeler une chose essentielle... Marcher c'est vivre. A tous les amis d'anthony rappellez vous où nous étions il y a 16 ans.!!! Salut Nounours 😍👌
  • Le 08/05/2019 à 12:29 par Cyril LAFFITTE
    Mes meilleures et amicales pensées pour Antony et sa famille. "Dépasser son ombre" m'accompagne encore et toujours sur mon chemin personnel.
    Merci Antony pour ce cadeau inestimable, au delà des mots. Cyril
  • Le 02/03/2015 à 07:26 par Lisa Hurst
    Merci, Richard, merci, hier soir encore c'est à Antony que je pensais , ce matin aussi. Parce que j'avais besoin de ça, de c'la, Richard je pense tellement souvent à toi, à Kristina aussi, à Nathalie, j'en attendais tellement de tes nouvelles!
  • Le 01/03/2015 à 16:29 par richard
    bonjour a tous
    onze ans déjà ... en 2004 j'ai cheminé au côté d'Anthony "nounours" !!
    je suis richard qu'il rencontra le même jour que Lisa .
    j'ai longtemps hésité avant de vous écrire mais Anthony a insisté !
    je dois vous raconter un souhait dAnthony sur le camino .
    ce jour la pendant que nous marchions je lui ais demandé pourquoi il était la ,
    il m'a expliqué que sa maman était malade et qu'il voulait l'aider . Je lui ais demandé ce qu'il étais prêt a faire . il m'a répondu qu'il voulait porter sa maladie a sa place . J'ais trouver cela très courageux .En 2012 j'ais rêver de lui , il m'a demandé de dire a sa famille et a ses amis combien il vous aime et de ne plus être triste car il est heureux la ou il est ... Je suis fier d'avoir marché auprès de "nounours" , c'était un grand Chevalier , soyez fier lui !!!
    Je suis fier de faire parti de Dépasser son Ombre !!
    La chose que je lui ais demandé de ne pas écrire étais mon nom de pèlerin ,je peux vous le dire aujourd'hui on m'appelait : Celui qui voit la lumière et qui marche contre la rivière ...
    Anthony mon ami , mon frère , je sais que l'on se reverra .
    PS : Lisa petite fée du Chemin , que la lumière se fasse tout autour de toi !!
  • Le 29/01/2014 à 14:56 par Lisa
    Isabelle,


    J'avais le souhait de vous dire et peut-être à d'autres que j'écris à nouveau.


    Je pense beaucoup à Antony et je crois aussi qu'il m'y entraîne .

    Lisa ,
  • Le 23/10/2013 à 16:36 par Lisa
    Isabelle,

    Cette année est belle et bien exceptionnelle.

    Lisa,

    :)
  • Le 13/03/2013 à 13:57 par Lisa
    Cher ami,

    Ton livre circule, Séverine l'a partagé; elle a lu doucement et elle a aimé. Elle est très motivée pour faire Compostelle. Plus le temps passe, plus je me dis que tu es en paix. Il n'y a pas de jours où je ne me dis pas que tu nous protèges. Et que je continuerai ma voie, ce chemin vers d'autres lendemains avec un départ, une arrivée comme chaque journée passée là sur Terre, sous les étoiles, une nuit, pardi! Tu l'aimais la vie! Mon vieux, vivant.
  • Le 18/02/2013 à 16:27 par Lisa
    Antony, c'est une année importante pour moi. J'ai fais un grand pas. Je suis sûre que tu es là.
  • Le 16/12/2012 à 21:56 par christine
    Antony, nos chemins s'étaient séparés depuis quelques années, mais tu étais toujours présent dans mon coeur et mes pensées. J'ai du mal à réaliser que, plus jamais, je ne te recroiserai ni te parlerai. Je garderai précieusement comme symbole de ce que nous avons vécu , ton manuscrit et ton livre. Tes yeux rieurs, ton sourire resteront gravés dans ma mémoire. La vie est parfois vraiment injuste. Merci d'avoir été toi, de m'avoir abordée. C'était une belle époque.........

  • Le 03/10/2012 à 14:36 par Lisa
    J'ai rencontré Julie, une amie de Julitte par Internet. Je peux parler de toi, en silence. Je peux parler du livre enfin puisque je sais à présent que tu vis encore
  • Le 02/10/2012 à 15:54 par Lisa
    "Il faut tellement croire à la vie pour écrire. Nous devrions tous faire un testament en nous imprimant dans la roche, la pierre, la terre."

    Françoise Lefèvre

    Merci
  • Le 11/09/2012 à 23:03 par Muriel
    Cher Anthony, merci pour tout! Il y a quelques années, tu m'as écoutée, rassurée et sauvée... Je ne pourrais jamais oublier ce que tu as fait pour moi... Je suis triste d' apprendre que tu n'es plus sur cette Terre, mais je pense que tu es toujours quelque part, sur un autre chemin... J'aurais voulu t'aider, moi aussi. (Je n'ai pas encore lu tes livres, j'ai peur). Je pense à toi souvent, et tu m'as fais tellement rire, tu m'avais redonné beaucoup de force!! Tu étais vraiment quelqu'un de bien, comme on en rencontre très peu dans sa vie!! Je pense très fort à toi, à tes proches... Que dire de plus?
    Muriel
  • Le 08/09/2012 à 21:12 par Lisa
    Aujourd'hui, pour la première fois, j'ai conseillé à une amie de lire ton livre. Séverine a envie de faire le chemin pour vivre une expérience. Ce sera la surprise pour elle de te lire. Elle ne sait pas que tu parles de moi. Ca me fait bizarre tu sais. Ce n'est pas comme si c'était ma famille. J'espère que ton récit lui plaira et lui donnera encore plus l'envie de partir. Elle a commandé le livre sur Amazon et sera livrée mardi! C'est comme un signe pour moi qu'elle ait parlé de Saint Jacques de Compostelle ce soir. J'aimerai partager ce plaisir avec toi. Je t'en dirai des nouvelles.

    Lisa
  • Le 12/06/2012 à 20:14 par Lisa
    Tendre ami,

    J'aimerai que tu saches que je suis heureuse, qu'aujourd'hui aussi pourri fut le temps j'étais contente. Grâce à mes amis, à ma cousine, à mes parents et mes deux frères. J'aimerai te dédier ce bonheur simple que je connais malgré mes petits problèmes. J'aimerai te souhaiter bonne nuit et marcher longuement avec toi, un lendemain pour voir comment ça fait, encore un peu, encore une fois. Je ne marcherai plus avec toi mais tu resteras là dans mon coeur pour mon plus grand bonheur.

    Affectueusement,

    Lisa
  • Le 13/05/2012 à 18:04 par Lisa
    C'est encore une belle journée en ce 13 mai. Je ne t'oublies pas Antony. Le temps passe et tu es présent malgré ton absence. Tu le sais, je t'écris presque chaque semaine dans mon journal. Il y a 8 ans, nous fêtions ça ensemble. Ton anniversaire. C'est si doux de penser à toi, de t'écrire et je pense à ta famille que tu aimes tant. Et je pense au camino qui est toujours sous nos pieds. Je continue la route avec mes proches et ceux que j'aime. Je pense à tous ceux qui t'aiment encore si fort et qui ont vécu avec toi des moments inoubliables.
    J'aimerai que tu puisses lire de là où tu es, que tu puisses voir et aimer. Peut-être que tu le peux.

    Je t'embrasse affectueusement et amicalement. Buen camino...
  • Le 13/02/2012 à 12:01 par Lisa
    Bonjour, bonjour, douces pensées Antony. Finalement je n'aurai pas l'occasion de refaire la marche cette année. Ce n'est que partie remise. Il y a pleins de fleurs dans mon coeur lorsque je pense à toi alors je t'en envoie où que tu sois.

    Enormes bisous, bises Isabelle et Juliette,

    Lisa
  • Le 11/09/2011 à 19:28 par Lisa
    Je pense très fort à toi cher Antony.... Je parle de toi avec d'autres qui ont envie de faire la marche. Je n'ose presque pas dire que tu n'es déjà plus là; alors c'est comme si tu étais toujours là. Je me garde de dire que tu as écrit un livre. J'aimerai tellement que tous les gens que ça intéresse le découvre.
    Je t'embrasse tendrement.

    Lisa
  • Le 13/08/2011 à 19:26 par Lyne Louis-Seize
    Bonjour Isabelle,

    C'est avec grand plaisir que vous pouvez publier mon message. Moi et mari continuons d'être bénévoles à l'association de Compostelle, nous sommes responsables de l'émission des credencials pour la région Laval-Laurentides. Aujourd'hui encore, j'ai parlé du livre de votre frère à un futur pèlerin qui partira le 10 septembre prochain. Votre frère était ce que j'appelle "un ange du chemin", une personne à l'écoute, une grande âme.

    J'en ai rencontré des "anges" sur le chemin et ils sont toujours dans mon coeur.

    Merci à vous Isabelle, vous me touchez à votre tour en publiant mon message.

    Lyne L-S
  • Le 11/08/2011 à 19:37 par Lyne Louis-Seize
    Bonjour,

    Je viens de lire le livre d'Antony, j'ai vraiment beaucoup aimé. J'ai fait le pèlerinage de Compostelle en 2008 avec mon conjoint. Je ne voulais pas lire le livre trop vite, j'ai tellement revécu des beaux moments et je me suis sentie comme lui quand on approche de Santiago, j'ai ralenti dans ma lecture pour apprécier encore plus. J'ai pleuré à la fin du livre et encore plus quand j'ai appris qu'il était décédé.

    J'ai pu lire ce livre parce que je fais partie de l'association "Du Québec à Compostelle" parce que la webmestre de l'association l'a reçu d'outre-mer. Je voudrais me procurer un exemplaire mais, il n'est pas distribué chez nous. Pourriez-vous m'indiquer comment je pourrais en acheter un?

    Merci du fond du coeur,
    Lyne Louis-Seize
    Qc, Canada
  • Le 11/08/2011 à 19:37 par LAFFITTE Cyril
    Bonjour, je viens de découvrir votre site au hasard du net et je fais un bond de plusieurs années en arrière. En effet, fin d'année 2004, je viens de m'installer à St Maur, pour mes études, j'ai 24 ans. Un soir, je me retrouve dans un supermarché dans la galerie duquel je tombe sur un stand de livres. Il n'y a personne mais je m'avance curieux et intrigué, drôle d'endroit pour une dédicace! Cette couverture et son "héros" en peluche se sont gravés en moi dès cet instant. je patiente quelques minutes mais personne ne semble venir, j'arrive probablement trop tard, mais je vais en caisse avec l'ouvrage conquis par cette seule rencontre avec la couverture; aujourd'hui je regrette cette non-rencontre avec son auteur, votre frère. Cependant la lecture de ce livre il y a maintenant 7 ans fut un immense bonheur encore vivant aujourd'hui et je peux même dire qu'il m'a aidé à avancer. Je vous prie de m'excuser pour cette longue histoire personnelle probablement sans intérêt pour vous m
    ais le seul fait de me remémorer ces moments me remplit de joie!!! Malheureusement, après de multiples déménagements je ne retrouve plus le livre de votre frère et j'aimerai savoir comment peut on se le procurer ainsi que le suivant. Voilà j'arrête de vous importuner, je vous remercie sincèrement pour ce très beau site qui montre qu' Anthony est une belle personne.
    Avec tout mon soutien, cordialement Cyril
  • Le 01/07/2011 à 20:03 par Virginie
    Deux ans déjà que tu nous as quitté et ... tu me manques ... tu nous manques ... Je viens voir de temps en temps ce blog que ta soeur - dont tu me parlais tant et dont tu étais si fier - a laissé en ta mémoire qui est magnifique et qui te reflète tellement (à chaque fois je ne peux retenir mes larmes). Je suis fière d'avoir pu être ta confidente et amie. J'adorais ces moments où je rentrais du boulot et découvrait une de tes cartes avec un petit mot sur mon pare brise de voiture ... Toutes mes pensées se tournent vers ta famille dont ta disparition a laissé un bien grand vide ... A jamais tu resteras dans mon coeur ... Carpe diem ... Virginie
  • Le 24/06/2011 à 18:01 par jacques Clouteau - Site web
    Les éditions Dubuisson m'ont envoyé le livre de Antony. Je n'ai pas fini de le lire mais déjà il m'a touché par la beauté de son écriture et la lumière de ses mots. J'aimerais en parler dans les Zoreilles du chemin, une petite revue internet dont je fais la mise en page chaque mois à partir des textes envoyés par les pèlerins. Mais j'aimerais par-dessus tout que d'autres en parlent, les personnes qu'il évoque avec pudeur : Gilles, Lisa. Il est des moments de grâce qui sont plus beaux quand on les partage. J'en ai parlé à Juliette, la petite soeur. J'espère qu'elle pourra réunir ce petit monde pour construire une jolie page, une petite pierre blanche de plus sur le chemin des étoiles...
    jacques clouteau j.clouteau@orange.fr
  • Le 14/04/2011 à 19:17 par Lisa
    Le coeur a sa mémoire
    Il nous conte l'histoire
    Des souvenirs enfouis
    Au creux de notre vie
    Il refait le chemin
    Nous tenant par la main
    Le chemin de l'exil
    Dans les parfums d'avril
    Et quand il plie bagage
    Il refait le voyage
    Que nous avons suivi
    En quittant le pays
    Laissant sur le chemin
    Tout ceux auxquels on tient
    Sans espoir de retour
    Tous ces romans d'amour
    Pleurons sur la guitare
    Pleurons sur la mémoire
    De ceux qui sont partis
    Du creux de notre vie
    Tout en serrant les poings
    Vers leur sombre destin
    Que nul ne peut changer
    Et pour que leur histoire
    Demeure en nos mémoires
    Ne laissons pas les mots
    Transformer en lambeaux
    Tout ce qui fut la vie
    De ceux qui sont partis
    Sur les routes d'exil
    Dans les parfums d'avril
    Le coeur a sa mémoire


    Rachel Leibouitch
  • Le 09/04/2011 à 17:15 par isabelle thuillier
    Deux ans, deux tours de la terre, deux Noël, deux Nouvel-an, deux fois trois cent soixante cinq jours, deux ans que tu ne respires plus comme nous, deux ans que tes yeux ne voient plus le soleil comme nous pouvons le faire en relevant la tête, deux ans que mon chagrin s'est installé, voilà deux ans que j'ai emménagé une petite place toute froide au fond de mon coeur.Triste anniversaire...
  • Le 08/04/2011 à 13:34 par Lisa
    Déjà 2 ans aujourd'hui que tu as pris ton envol, tu es et restes à jamais dans nos coeurs... Je pense à toi.
  • Le 28/03/2011 à 22:25 par GUFFROY
    Bonsoir Isabelle,
    Tu as vraiment réalisé un super blog sur ton frère, je ne connaissais pas Antony et grâce à ce magnifique travail que tu as réalisé avec tout l'amour que tu lui portes, (ainsi que tout votre entourage....), nous le découvrons...je suis très émue par ce que je viens de lire et regarder......
    Ingrid qui t'embrasse fort
  • Le 27/03/2010 à 13:27 par Lisa
    J'vais réussir à vous envoyer la première page...

    Lisa HURST et Emilie DULAC; nous partons le 27 avril 2004 vers Saint Jacques de Compostelle. Nous traversons l'Espagne du Nord à pied d'Est en Ouest.

    Arrivées à 19h08 à Saint Jean Pied de Port, nous repérions déjà d'autres pèlerins dans le train. Dès le début, nous voilà accueillies par Christiane qui nous fait partager son domicile pour 7 E la nuit. Emilie et moi allons dîner "chez Dédé" puis ballade digestive dans le village. Nous trouvons l'association "les Amis du chemin de St Jacques" qui nous délivrent le carnet du pèlerin. A cet instant, je ne suis pas dans le bain. Les explications de la dame démontrent le balisage du chemin bien préparé. Je suppose mieux sentir dès la première marche, "l'esprit" ou plutôt la ou les couleurs d'une telle expédition.

    Lisa
  • Le 26/02/2010 à 14:27 par Le 21-05-2004
    Départ pour Léon, j'encourage Brigitte à y aller à pied mais elle préfère réellement prendre le bus. Elle ne supporte pas les grandes villes, ses genoux lui font savoir. Je la comprends, nous nous saluons et je me lance. Pour moi non plus ça n'est pas évident, je garde encore un peu le souvenir d'une mauvaise expérience lors de l'arrivée à Burgos. Je reste positive aujourd'hui et pars déterminer à affronter l'épreuve. J'ai bien l'intention d'embellir cette journée et de prendre un maximum de plaisir avec la nature. Bien que le trajet soit court, en majorité au bord de la route, je marche sur un beau petit chemin aux couleurs lumineuses. Les fleurs bleus foncés et bleus clairs, jaunes, rouges et blanches égaient la ballade. Les oiseaux sont présents tout le long. Je chante beaucoup. J'observe l'agriculteur tourné la terre avec le tracteur. Les cigognes (avec la faute: cigognent) profitent pour manger les vers frais, nombreuses à picorer, le spectacle me fait sourire. Peu avant l'arrivée dans la banlieue de Léon, je garde en mémoire un petit bout de chemin aux alentours bourrés d'énèrgie par des multitudes de fleurs aux couleurs différentes ainsi que la famille cigogne sur le toit de l'église. J'approche de plus en plus vers la grande ville. Je fais bien attention; il y a beaucoup de circulation. Je longe une route nationale et je regarde chaque voiture déboulée devant moi. Je constatais déjà l'allure excessive des automobilistes espagnols. Prudence jusqu'à l'arrivée sur un pont pour piéton duquel la vue sur Léon et ses alentours, revoit l'image de la densité urbaine. Je me dis, cette fois je tâcherai de traverser la ville accompagnée d'autres pèlerins. J'entre progressivement dans le centre ville et je rencontre deux hommes grignotant un peu sur un banc. Il y a Jean 72 ans qui vient d'Ardèche et son ami québécois d'une soixante d'année. Je leur demande s'il est possible de marcher avec eux jusqu'au refuge. Je leur explique la mésaventure du boulevard à Burgos sans entrée dans les détails. Ces bons hommes m'accompagnent, nous parlons tout le long. Nous sommes surpris à l'arrivée devant l'auberge qui me procure de son aspect exterieur le soupçon d'une vieille prison... Jean me rappelle déjà "ne pas se fier aux apparences". Je lui souris pour approuver ses dires. En effet, l'intérieur du bätiment présente de belles chambres et salon. La salle de bain bien grande donne envie de prendre soin de son corps. Le long du couloir je peux lire n°"14, numéro de la chambre où je passe la nuit. J'admire le tableau sur le mur juste en face de la pièce. Des hommes et une femme fourche le blé. La peinture transmet de véritables coleurs naturelles. Je retrouve Andréa, Alégria (Le 26-02-2010: qui parlera du roman qu'elle bouquine lors de notre retour en train de Fisterra. tHRILLER Psychologique.)
    Elle a vu Antony hier après-midi qui est reparti. Après ma douche, je discute un peu avec elle. Nous nous exprimons le plaisir de nous revoir. Il n'est que 17h et quelques, j'ai déjà faim. Alors je me dirige vers la reception pour savoir où je peux manger un bout. J'ai oublié le nom du petit restaurant où je suis la seule dans la salle. Je me nourris bien, la bouteille de vin n'étant vidée, je la rammène au refuge pour la partager avec Jean et son compagnon. Nous nous trouvons dans la même chambre et nous continuons (le 26-02-2010, la particularité de ce trajet à partir de cette étape, est le fait que la crédentaile peut-être délivrée à partitr de 100 kms de marche. Prises à cours par n'importe quel marcheur ((pèlerins.°) à avoir des coversations interessantes. Il y a aussi un autre garçon dans cet endroit. Il ne m'inspire pas confiance du tout. (.)Après avoir discuté avec lui.(.) Je fais part de mon sentiment à mes deux compagnons qui partagent mon avis. Nous décidons de regagner la route tôt dem
  • Le 25/02/2010 à 23:49 par Lisa
    "L'Amour a ses raisons que la raison ignore" (28 ans..; Mouai)Je lui rend hommage pour avoir compris il y a peu de temps, quelques jours à peine que j'entre dans ma vingtcinquième année très prochainement et sereine, sens de la vie perdu.

    Je m'appelle Lisa, j'ai 25 ans le 15 mai 1981




    Isabelle, Arrêtez moi quand vous voulez. Je n'aurai plus la sagesse de m'arrêter toute seule.

    Lisa
  • Le 25/02/2010 à 23:20 par Le Tout
    Isabelle, A l'attention de madame Fagnot. "Vous allez comprendre".

    Accède à tes rêves même les plus insensés et nous t'offrrons l'OR
    L'Amour n'est jamais désolé
    Ce n'est pas la mort qui me fait peur, j'ai peur de te perdre
    L'innexplicable et l'innavouable.

    Nous cherchons qui nous sommes, on trouve qui on est.
    Nous trouvons où chercher

    De quelle façon diffuser

    Comment t'aimer? te rencontrer?
    Où te retrouver? T'enlasser?
    t'embrasser? te serrer?

    (En vert) Qui sommes nous l'un pour l'autre?

    Je ne reviendrai pas,
    je n'ai rien d'autre à te proposer, rien d'autre que
    de partager ma vie avec la
    tienne. Alors non, je ne
    reviendrai pas.
    Le pire et le meilleur, le pire,
    le meilleur, c'est tout,
    c'est rien, rien que du vent,
    de l'imagination, des transferts de toi sans te voir.
    Rien que je ne vive avec toi. Choisir qui, quoi?
    Quelqu'un a dit: "On ne choisit pas d'aimer, on aime"
    Choisir un partenaire, choisir le partenaire, ne pas choisir. Trouver son partenaire de vie

    J'avais effacé ton numéro, pour ne plus te joindre, pour ne plus rien savoir de toi, pour t'oublier.

    Tout nous sépare, je ne fais rien pour t'oublier, je pense à toi, je veux t'oublier, tout s'arrêtera.
    Ne te contredis pas me dis-je.
    Je ne t'aime pas.
    Je t'ai menti, tu m'as ment. Tu n's rien, je ne suis rien.
    Je ne te connais pas. Je ne t'ai jamis rencontré, jamais vu, jamais entendu. Je ne t'ai jamais cru.
    Je ne t'ai jamais aimé dans le fond.

    Lisa
    J

  • Le 25/02/2010 à 22:29 par S'il pensait
    Pour te crier ce que je n'ose m'avouer, je choisirai l'endroit le plus haut, le plus majestueux, un monument qui existe depuis des siècles, repère de beauté et d'éternité-

    Il l'écrirait.


    LisaH
  • Le 24/02/2010 à 21:31 par Lisa
    Aujourd'hui, je marche seule toute la journée. Le petit déjeuné est pris à Atapuerca; je discute avec Gérard et sa femme originaire d'Allemagne. C(s)a me fait du bien car je démarre un peu à plat. Mon cycle menstruel n'échappant pas à l'aventure, je comprends mieux ma fatigue de ce début de matinée. Richard, Antony et sa copine allemande Kristina font de même leur pause. Je continue seule avec de la musique et quel bonheur! Antony m'a à nouveau prêté son walkman. Je traverse un immense champ au milieu des vaches de couleur gris clair. Tout se mari sur les terres espagnols; les animaux, la nature, les êtres humains vivent en parfaite harmonie. Le vent souffle fort, il est froid mais annonce le beau temps. Je l'encourage à chasser les nuages. Le paysage est merveilleux et je me sens bien. Après le pont duquel j'observe les voitures en contre bas sur l'autoroute, je découvre la joie, je l'éprouve, celle d'être libre sur ce chemin au milieu de champs très verts. Dans les airs, les vautours se montrent régulièrement, de les observer planer dans le ciel accentue le sentiment de liberté.

    (En italique)
    L'arrivée au refuge de Burgos est une épreuve interminable. Je n'étais absolument pas préparée à entrer dans une ville bien plus importante en taille et en nombre d'habitants que l'urbanisme fréquenté jusque là. Alors que mon esprit vagabonde encore dans les champs de verdure, avec de la musique, j'arrive dans une grande ville industrielle. En effet, hâtée de trouver le refuge, j'accélère le rythme et j'avance, je suis les flèches, je regarde la distance sur la feuille, hors le nombre de kms à effectuer de l'entrée dans Burgos au refuge n'est pas indiqué. Je mets plus d'une heure pour parcourir le boulevard où je fais une mauvaise rencontre, puis le centre ville dans lequel j'accélère encore pour faire une pause à la sortie de celui-çi. Benoît, un français et ses deux amis sont à l'arrêt. Je m'assoie un peu pour souffler et cette fois mes pieds ont presque doublé de volume. La vitesse à laquelle j'allais m'a provoqué des ampoules et je souffre jusqu'à ne presque plus pouvoir poser les pieds au sol. Benoît me donne des gélules anti-douleur à prendre ce soir et m'indique que le refuge est maintenant proche; à ce moment, Richard, Kristina et Antony nous rejoignent. La traversée de Burgos leur a été pénible aussi. Je raconte mes péripéties avant de reprendre la route avec eux. Je suis bien contente qu'ils soient arrivés là. Enfin au refuge, je m'installe sur le lit dans lequel une brésilienne me soigne les ampoules avec une huile de son pays. Heureusement, elle me masse doucement et compatie beaucoup. Elle est plus impressionnée que moi par l'état de mes pieds.

    ___
    (Droite)
    Accompagnée par Richard, Antony et Kristina, nous nous ravitaillons dans un bar avant de démarrer notre nouvelle journée. C'est l'anniversaire d'Antony et je souhaite rester avec lui pour marcher mais nous allons tous les quatre à un rythme différent. Nous sentons que nous nous séparerons et c'est le cas;
  • Le 23/02/2010 à 15:17 par Lisa
    Isabelle,

    Je vous envoie une page de mon journal. (La dernière)
    Le 24-05-2004

    Levé du soleil magnifique qui rayonne à travers les champs de blé, la brume matinale qui laisse place à la fraîcheur sur nos corps. Vue imprenable sur les champs de blé. Champs, chant voilà la mélodie d'un regard, d'une brise et d'un mouvement. Un rapace vole très bas, quasiment à la hauteur de Katia et moi. Nous prenons le petit déjeuner dans le blède suivant. La musique dans cette endroit original est au rendez-vous. C(s)a nous motive. Nous parcourons 8 kms jusqu'à notre pause. Nous avons à nouveau droit à de la musique. Elle fait du bien, nous entraîne vers l'avant; son rythme, sa vibration sans doute, le son tout simplement nous renvoit la cadence. Nous sommes dans la montagne, les couleurs enchanteresses, bleues, mauves, jaunes, verts, blanc. Le village que nous traversons est calme et doté d'une architecture rare. Je suis attirée par le refuge sans savoir vraiment qu'il s'agit d'un endroit où dorment les pèlerins. J'entre, Katia me suit, nous passons une belle cour de gazon. Il y a des moines me semble-t-il, une dame nous explique que c'est une auberge. J'entre à l'accueil et je reconnais l'écriture d'Antony dans le livre d'or ouvert à la page de ce jour. Mon coeur bat plus vite. Il est tout proche, son mot a été écrit ce matin. Je lis son mot par lequel il notait ses impressions sur le lieu et sa mésaventure avec des allemands un peu bruyants. Je me sens perplexe à la lecture... Je raconte à Katia qui est Antony, je lui explique que c'est quelqu'un qui m'est cher.
    Le 3 Mai 2009- Ce jour là, nous nous étions retrouvés. Si je me remémorais ces moments, je m'en souviendrai. Il est peut-être temps de me remettre à l'écriture. Reliure le 2 Mai 2009.

    Avant.
    Au départ de cette nouvelle après-midi, nous passons devant une maison, cour ouverte dans laquelle nous voyons des visages en couleur sculptés dans le bois. Notre attention attirée par le côté artistique et créatif du lieu, nous entrons doucement. Un chien dort sur un vieux fauteuil et à l'arrière cour son maître fait aussi sa sieste sur une chaise au milieu d'un jardin de plantes. L'ambiance paisible de l'endroit nous motive pour reprendre la route, enchantés. Ce village calme et acceuillant arrive à sa fin. Derrière nous, approchent deux cavaliers avec leurs chevaux. Antony prend l'un d'eux en photo avec son ours bleu, compagnon de route et d'enfance.

    Lisa (Signé le 6-02-2010)

    Dépasser son ombre, ouvrage d'Antony Fagnot Son Ours: Oso
  • Le 30/12/2009 à 10:44 par yohann - Site web
    à toi l'ami antony,
    tes élats de rire et ta bonne humeur résonnent encore dans les locaux du commissariat de st maur où nous avons partagés tant de moments...Je repense souvent à nos fous rires avec Bruno ainsi qu'à nos discutions philosophiques...penser à tout ça contribue à te faire vivre dans nos coeurs...
    Merci à tes soeurs pour ce blog qui prouve une fois plus s'il n'était besoin toute l'affection qu'elles ont pour toi mon ami....
  • Le 11/11/2009 à 13:41 par Isabelle
    L'Antony que j'ai connu était un fan de jean jacques goldman, il chantait beaucoup, il chantait bien d'ailleurs, il avait énormément d'humour, il mettait souvent sa bouche de travers, ou relevait ses sourcils d'une drôle de manière. Il jouait beaucoup avec les mots, il n'aimait pas les cheveux qui restaient dans la douche, il pouvait être très sérieux mais aussi très silencieux il était mystérieux aussi, et fragile...
    Il essayait d'aimer la vie, de la voir sous son meilleur jour même si des évènements qui l'ont fait souffrir l'ont beaucoup abîmé.
    L'antony que j'ai connu était beau, fort et faible à la fois. L'antony que j'ai connu s'est perdu aussi dans ce monde... L'antony que j'ai connu a été malheureux aussi, il s'est abîmé, il a même démissionné... mais il s'est relevé...L'antony que j'ai connu était au fond très courageux...
    Et lorsque je lis ce blog j'ai la sensation qu'il s'était retrouvé et j'en suis très heureuse.En lisant ce blog et en y voyant l'amour de ses soeurs, l'amour de son amoureuse j'ai la sensation qu'il avait enfin trouvé une vie plus paisible.
    Antony méritait et mérite tout cet amour, l'inverse aurait été inacceptable.
    D'après ce que je comprends à travers vos écrits Il avait l'air d'avoir retrouvé sa force...
    J'espère que votre peine deviendra de plus en plus vivable, j'espère que l'amour que vous lui portez vous aidera à avancer encore et qu'il vous empêchera de démissionner... Il y a une chose dont je suis sûre : où qu'il soit, antony ne rêve que d'une chose c'est que vous continuiez à jouer, c'est que vous continuiez à vivre.
    Alors merci pour ce blog, merci pour tout cet amour et merci à vous de partager...
  • Le 28/10/2009 à 17:51 par NATH
    A mon Petit Prince...
    Tout d'abord , je voudrais te remercier Isa pour ce blog, si touchant ,si beau et qui transmet bien toute la Magie et toute la Beauté qui entoure Antony... Je voudrais aussi te remercier Juliette et toi pour votre présence et votre soutien face à ce manque atroce... J'ai eu et j'ai énormément de mal a écrire ce message et à t'envoyer le texte afin de créer mon article sur ce blog. Je pense que je refuse toujours ,au fond de moi, son départ , de vivre le reste de ma vie sans mon autre... Refus de lui dire adieu... Je l'avais attendu toute ma vie , je l'avais enfin trouvé , cette âme soeur à laquelle je ne croyais plus... Mais j'ai compris aujourd'hui que je n'y serai jamais prête et qu'il ne me quittera jamais... Pour preuve , il est présent et je l'aime plus que jamais... Alors je vais prendre mon courage à deux mains et je vais essayer de trouver les mots afin de vous le décrire tel que nous nous sommes aimés durant ces trois dernières années. Mais comme il me disait souvent : " Moi , le poète , je ne trouve plus les mots pour te dire à quel point je t'aime... Mon amour pour toi surpasse ces mots crées par l'être humain..."
    Ta Mamour, pour l'éternité.
  • Le 26/10/2009 à 22:41 par juliette
    ma soeur...merci,car quand j ouvre ce blog,je suis avec lui,grace a toi...il a de la chance d avoir une grande soeur qui rend si bien hommage a son frere...il me manque tant...et heueusement que je t'ai...tu veilles sur moi comme il le faisait...son sourire et son ame ne s eteindront jamais...veille sur nous mon frere,je sais que tu es en paix...et aide ns a poursuivre notre chemin...et je t entend parfois me dire "juliette,ton chien"...sois en paix,tu as reussi ton chemin d homme...
  • Le 24/10/2009 à 17:43 par Peggy
    Décidément, quelle rencontre! Je ne connais Anthony que par ses livres et sa voix (oui j'ai osé l'appeler après avoir lu son 2è livre pour lui dire tout ce que j'en pensais). Je l'ai senti ému par mon émotion. Il était sur ma liste d'auteurs dont j'attends les oeuvres suivantes avec une certaine impatience... Et je le lui ai dis.
    Et puis je connais Isa, un p'tit peu. Mélange de sensibilité et de discrétion, qui a osé ce bel hommage, très touchant. Je vous découvre tous un peu plus avec beaucoup de respect et tant d'émotion.
    Son livre a raisonné en moi quand j'ai moi-même cheminé avec l'homme de ma vie. Quelque chose d'une force incroyable.
    J'espère que ce site te permettra Isa, de trouver un apaisement, et de "dépasser" ta peine. Et n'oublies pas que pour qu'il y ait de l'ombre, il faut de la lumière...
    Bien à Toi, bien à Lui.
  • Le 24/10/2009 à 11:32 par juliette
    Merci,ma soeur...je suis en train de pleurer a chaudes larmes, mais merci...quel bonheur pour moi de pouvoir enfin m exprimer sur ce blog magnifique...que d emotions...je sais qu il veille sur nous,sur lea...on doit poursuivre notre chemin le mieux possible, pour lui..je sais qu il est avec nous..tiago aussi adore ton blog...je t aime fort ma soeur, les photos sont magnifiques,il etait un homme a part, un grand frere a part,un ecrivain tres talentueux,et une partie de moi...qui me suivra toujours. ton blog me laisse sans voix...merci...
  • Le 12/10/2009 à 22:38 par Cécile
    Merci Isabelle pour m'avoir contacté, Merci à tes parents pour leur soutien aux heures sombres, merci à toi, Antony, pour avoir fait damner le chef que j'étais et avoir ému mon coeur de femme par tes maux, tes mots et ton âme... à jamais "mon ptit con préféré"...
  • Le 11/10/2009 à 09:13 par chris
    antony etait un etre merveilleux et un ami avec qui je n ai passé que des bons moments.il me manquait depuis quelques temps la c est une partie de ma vie qui part.
    j espere qu il a enfin trouvé la tranquillité et la paix.
    je pense a toi tous les jours mon jojo et tu manque a de nombreuses personnes.
    tu etais et tu es un etre tres aimé.
    bisous a ti et a ta formidable famille.
    ton jojo qui vient te voir souvent ici.
  • Le 11/10/2009 à 00:53 par gambier/zuba
    une enieme visite pour voir l'evolution du blog, que d'emotion, et d'amour pour ce frere parti trop tot
    plein de bisous de nous trois et à tres bientot
  • Le 09/10/2009 à 21:45 par Matt
    Seconde visite, toujours beaucoup d'émotions.
    J'apprécie vraiment le graphisme et les thèmes que tu évoque. Bravo pour ce travail en souvenir de notre chère Tony. Grosses bises à tous.
  • Le 04/09/2009 à 21:00 par gambier zuba
    que d'émotion de revoir cette petite tete que l'on aimait tellement mes larmes coules a flot de te revoir mon tony toi aussi pétillant de vie tu nous manque et ton sourire aussi nous manque on ne t'oubliera jamais tu reste en vie dans nos coeur on t'aime
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